L’immunité n’est pas seulement un « système » interne composé de tissus, cellules et molécules voués à la destruction aveugle de ce qui est différent, dérangeant, « étranger ».
L’immunité vraie définit l’aptitude globale à pérenniser une identité biologique dans l’espace et le temps, à poser des limites sans jamais interrompre le dialogue et les échanges, à maintenir l’homéostasie individuelle ET une relation harmonieuse avec TOUS les êtres vivants, y compris les populations microbiennes et vermineuses.
L’immunité est l’art d’interagir avec l’environnement, Soi avec les autres, et non Soi contre les Autres.
L’incompréhension profonde des équilibres biologiques au sein de la biosphère nous a amené à refuser ce dialogue et ce partage, à occuper puis « assainir » sans respect ni conciliation tous les écosystèmes, à toujours rejeter, combattre, éradiquer, ce qui a pour conséquence une réduction dramatique de la biodiversité. Une telle attitude spéciste, égoïste et paranoïaque ne correspond pas à la nature réelle de l’immunité, et le combat est à l’évidence perdu d’avance. Les multitudes d’insectes, vers et procayotes (microbes) ont une capacité d’adaptation par mutations non aléatoires infiniment plus efficace que celle des êtres dits « supérieurs », ce qui leur permet de toujours survivre et prospérer quels que soient les moyens employés pour les éliminer.
L’émergence continue de nouvelles maladies, qui touchent directement nos systèmes d’adaptation et d’évolution (maladies nerveuses, endocriniennes, immunitaires, microbiennes), est la réponse prévisible à notre cupidité, à notre ignorance des lois fondamentales de la vie sur Terre.
Comment renouer le dialogue ?
En restituant à l’immunité sa compétence et ses vraies fonctions.
Retrouver la compétence, c’est pallier à l’immunodépression et aux dysfonctionnements qui se traduisent par l’allergie, l’auto-immunité et le cancer.
Restaurer les vraies fonctions, c’est renouer le dialogue avec le monde microbien.
Les maladies transmises par les morsures de tiques sont actuellement un modèle de ces maladies infectieuses émergentes. Les piroplasmoses, borrélioses (maladie de Lyme), ehrlichioses et autres « maladies de l’herbe » (contractées dans la nature), génèrent des tableaux cliniques confus mais fort préoccupants (maigreur, épuisement vital, dysimmunité, mort subite …), des erreurs d’interprétation (fausses séropositivités et fausses séronégativités), des réponses thérapeutiques désespérées et très délabrantes (tétracyclines).
PhytOhm Immunité restaure progressivement l’immunocompétence et la capacité de cohabitation et co-évolution avec les autres espèces qualifiées de nuisibles, pathogènes ou parasites.
Complexe d’Extraits Fluides Glycérinés (EFG) de plantes fraîches, il offre le confort d’une phytothérapie de grande qualité. D’un emploi facile et souple, les PhytOhm’s permettent une utilisation ponctuelle ou prolongée selon les besoins.