Accompagnement des états fébriles et inflammatoires
Le domaine d’action du PrepOhm 12 est considérable et recouvre tous les syndromes en « ite » (bronchite, arthrite,…), mais aussi tous les trucs en « û » (piqûres d’insectes, brûlures et coup de soleil) sans oublier ce qui fait « mal » (mal de dent, mal de tête, mal de dos,…), autrement dit tout ce qui est inflammé avec les quatre signes classiques que sont douleur, rougeur, chaleur et tuméfaction. La présence avérée de micro-organismes jugés « pathogènes » n’est pas un élément décisif pour la prescription. La notion d’inflammation suffit quels que soient les fonctions et les organes touchés.
L’expression « limite l’inflammation » et non « stoppe l’inflammation » ne signifie pas un manque d’efficacité mais le respect du phénomène inflammatoire comme fondement des « défenses naturelles ». En effet le processus inflammatoire a un rôle essentiel, notamment dans l’élimination des déchets et toxines et dans la restauration des tissus agressés. C’est également un excellent indicateur de l’avancement des processus de guérison. Stopper l’inflammation revient à stopper les mécanismes de guérison, ce qui ne fait que repousser le problème à plus tard, voir compliquer la situation en cours.
PrepOhm12 ne présente donc pas les inconvénients d’un antibiotique et permet bien souvent d’en éviter ou d’en limiter l’emploi. Conçu pour accompagner et contrôler les processus inflammatoires, il permet une rémission optimum et sans séquelle.
A avoir sous la main en cas d’urgence, utiliser dès que possible après les premiers symptômes !
Ce produit est conseillé dans « les états infectieux et inflammatoires », ce qui recouvre un nombre considérable de situations conflictuelles, le plus souvent dramatisées, tant chez l’homme que chez l’animal. De nos jours, cela évoque notamment les piroplasmoses ou la maladie de Lyme lors de leur phase d’activation.
Pour nous, un « état infectieux » correspond en effet à l’activation d’un micro-organisme (toujours présent mais la plupart du temps inactif), sans que la notion de « pathogène » ne soit forcément pertinente, si « pathogène » a de façon systématique la connotation négative, péjorative, de « faire du mal », de générer de la souffrance, et surtout une souffrance jugée inutile, dénuée de sens.
Percevoir l’activation d’un micro-organisme comme systématiquement néfaste est une interprétation unilatérale, monolithique, qui ne décrit pas toute la complexité de l’interaction, notamment ses effets potentiellement bénéfiques (croissance et maturation, détoxification, reprogrammation génétique, évolution).
L’activation microbienne stimule la très complexe et mystérieuse fonction immunitaire, en fait l’ensemble du système, les fonctions neurologiques et endocriniennes, tout ce qui nous permet de nous adapter et survivre depuis la nuit des temps.
S’agit-il donc ici de se défendre, ou bien de communiquer ? S’agit-il d’éradiquer, ou bien de réguler ? Se pourrait-il qu’il s’agisse, non pas de prédation ou de parasitisme, mais de symbiose ?